mardi 8 juin 2021

Un parricide ordinaire: une intrigue familiale passionnante, et une incursion - romancée mais troublante - dans le secret du délibéré des décisions en matière familiale

AmboiseDebussyCouv.jpg, juin 2021Amboise Debussy nous a récemment fait partager son analyse très fine sur la question de la prise en compte du genre dans les litiges d'affaires familiales. Dans ce roman il expose le combat qu'un parent a du livrer après la séparation de son couple, pour exister auprès de ses enfants. Cette intrigue judiciaire passionnante raconte le parcours d’un père - mais il aurait tout autant pu s'agir d'une mère - pour obtenir un temps de présence plus régulier et important auprès de ses enfants, et offre une plongée dans l’envers des juridictions et des cabinets d’avocats. Le lecteur est invité à découvrir que la solution apportée aux litiges tient parfois à des postures idéologiques et des jeux de pouvoir entre les divers intervenants du monde judiciaire, qui se perdent entre rêves de carrière et désenchantements de parcours.

L'ouvrage se trouve sur Amazon, en format papier ou kindle, ICI

Un extrait format Kindle est consultable ICI.

Les commentaires sur Amazon sont enthousiastes, en voici quelques extraits:

''... Excellent ouvrage qui se déguste, facilement. Dresse un fidèle portrait de la réalité de la justice ... Belle découverte

... se lit comme un thriller. L' auteur (sous pseudo?) connait son affaire. A coup sûr intime du droit et du monde judiciaire, il raconte comme personne ne l'avait fait avant lui les injustices de la Justice familiale. Tout le monde en prend pour son grade : les magistrats de parti-pris davantage préoccupés de leur avancement que de jugement objectif, les avocats manipulateurs jusqu'aux pires des mensonges, les mères hystériques qui font passer leur appétit de revanche avant l'intérêt des enfants, et le narrateur lui-même, qu'on voit passer d'une arrogance de petit coq à qui tout a réussi à celle d'un père aux droits bafoués et peu à peu broyé par le système. Un roman à thèse instructif.''

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mercredi 21 mars 2012

Les abus de certaines associations dites "de papas", " de mamans" ou prétendant défendre "les enfants" avant tout: quand la détresse des parents qui se séparent est exploitée pour soutirer de l'argent

interdit21.jpg, août 2021Nombreux sont les père et mère en situation de séparation qui vont s'entre-déchirer, et qui croiront pouvoir trouver au sein d'associations dites "de pères" ou "de mères" voire de défense des enfants, un certain soutien. Mais certaines de ces associations ne sont pas aussi désintéressées qu'elle le prétendent, et il y a des indices pour repérer ce type d'associations ...

Alors, un conseil primordial qui pourra vous faire économiser votre argent: NE VOUS FAITES PAS AVOIR en adhérant financièrement à certaines associations qui profitent de votre situation de détresse pour vous donner l'illusion qu'ils vont vous aider, alors qu'en réalité ils vont vous faire payer une cotisation à prix élevé, en vous faisant miroiter des conseils et consultations d'avocats gratuites (ce qui est faux puisque ce type d'associations réservent les consultations d'avocats aux adhérents qui ont PAYE l'adhésion souvent fort cher, donc rien n'est gratuit), et en plus les avocats qui se trouvent dans ces associations ont bien souvent des honoraires très élevés...

Ces associations ont des animateurs qui sont formés pour vous manipuler et vous amener à payer leur adhésion exorbitante (et vous n'aurez jamais accès aux comptes de ces associations pour savoir à quoi - ou à qui - votre argent a profité), en faisant un speech bien rodé, pour donner l'illusion qu'ils vont vous aider. Au début de la séance, ces animateurs chercheront à gagner votre confiance, et vous donneront l'impression de vous écouter au sein du groupe, ils feront un joli discours sur le principe de coparentalité (ou au contraire sur les méfaits de la coparentalité selon la tendance de l'association). Puis, après vous avoir "appâtés", on vous expliquera la nécessité d'adhérer à l'association et on vous fera miroiter qu'en adhérant vous aurez accès à des "services" comme l'accès à des consultations soi disant gratuites d'avocats, ce qui est mensonger puisqu'en réalité ils vous font PAYER cet accès aux avocats. De plus, trop souvent les avocats de ces associations n'acceptent jamais les dossiers à l'aide juridictionnelle, ce qui montre bien que ce qui les intéresse, c'est votre argent et non pas de défendre une cause...

FUYEZ DONC CES ASSOCIATIONS GLAUQUES QUI PROFITENT DE VOTRE DÉTRESSE, et si vous avez besoin de l'aide d'un professionnel, contactez plusieurs cabinets en dehors de ces associations: vous pourrez ainsi trouver des avocats réellement désintéressés acceptant les dossiers à l'aide juridictionnelle, ou qui pratiquent des honoraires modérés, largement inférieurs à ceux des avocats de ces associations (cela peut aller de deux à trois fois moins cher), tout en étant très motivés et compétents.  

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vendredi 6 mai 2011

Accusations mensongères d'abus sexuels: le schéma classique


Le témoignage qui suit est tout à fait exceptionnel. Il s'agit de l'histoire réelle d'un papa de deux enfants, que sa femme a accusé d'abus sexuel quelques jours après leur séparation. Ce papa a été innocenté  pénalement en octobre 2006, après 4 ans et demi de procédure, et ses deux enfants n'ont pu revoir leur père depuis le mois de février 2002.
Voici son témoignage complet, à l
ire pour s'apercevoir du désastre qu'engendrent de fausses accusations... Un grand merci à lui d'avoir eu la force de rédiger ce témoignage, et je lui adresse avec bien d'autres tout mon soutien dans l'épreuve terrible qu'il traverse.
Dernière précision: l'accusatrice à l'origine de ce désastre, doit aujourd'hui répondre pénalement et civilement de ses fausses accusations. C'est le principe du boomerang...

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mercredi 13 avril 2011

Réflexions tirées de 16 années d'aide aux parents qui divorcent ou se séparent

Les réflexions suivantes sont celles d'un animateur parental qui a pendant 16 années consacré (et consacre toujours) bénévolement son temps à aider des familles et des parents confrontés à la séparation et au divorce, ayant des difficultés pour continuer à voir leurs enfants.

Voici le témoignage de cet animateur expérimenté. Je publierai sur demande des extraits d'autres témoignages qui pourraient être intéressants pour la compréhension des problématiques familiales.

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vendredi 24 décembre 2010

Les vingt demandes d'un enfant de parents séparés

Une très jolie lettre que tous les parents séparés soucieux de l'équilibre de leurs enfants pourraient utilement lire et relire...

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Fête des pères et pères qui ne sont pas à la fête...

Le 29 mai 2011 ce sera la fête des mères, et le 19 juin la fête des pères. Deux journées de fête dédiées aux parents, mais en réalité bon nombre de mères ou de pères ne seront pas à la fête, car les décisions judiciaires rendues en matière familiale ont presque toujours pour effet que les enfants de parents séparés ne verront plus que très rarement l'un de leurs deux parents. Et comme les statistiques de l'INSEE le rappellent (ICI), dans 90% des cas ce sont les pères qui suite à une séparation deviendront sur ordre de justice, des parents secondaires, résiduels, condamnés le plus souvent à ne voir leurs enfants qu'un week-end sur deux, soit quatre jours par mois.

L'un de ces papas nous livre une partie de son vécu, exprime l'absurdité de cette "garde classique" alors que d'autres modes résidence sont possibles et permettraient aux enfants de bénéficier réellement de leurs deux parents, et nous raconte son Dimanche de fête des pères 2010.

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Sites familiaux: Jean Paul Douhait, Aymeric et son droit bafoué d'avoir ses deux parents...

Dans ce billet destiné à s'étoffer de plus en plus, vous retrouverez des liens vers des blogs intéressants qui relatent des histoires familiales illustrant bien les problèmes rencontrés au quotidien lors des divorces ou séparations:
 
- le site de la famille Douhait, et l'analyse de la psychologie familiale et des pervers narcissiques par Jean Paul Douhait

- le blog d'Aymeric et son droit bafoué d'avoir effectivement ses deux parents en raison d'un éloignement géographique volontaire à des milliers de kilomètres

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Lettre ouverte d'un papa divorcé au Juge aux Affaires Familiales qui lui a refusé la résidence alternée

Il ne s'agit pas ici de critiquer les Juges aux affaires familiales, mais d'ouvrir le débat sur certaines pratiques de refus quasi idéologique de la résidence alternée. La lettre ouverte qui suit est extraite du site dédié aux " Mésaventures d'un papa divorcé pour une résidence alternée" . Cette lettre a été écrite en juillet 2006, et se terminait par une question:" Quand la République et ses Tribunaux prendront ils enfin en compte le besoin et le droit des enfants à avoir un père équivalent à leur mère ? ". Nous sommes en septembre 2008 et rien n'a vraiment changé. C'est donc à tous ceux et à toutes celles qui pensent que la coparentalité effective, la résidence alternée, constituent le meilleur moyen de préserver les enfants de la séparation, qu'il appartient de faire évoluer cet immobilisme qui se fonde sur l'archaïsme de la coutume familiale qui relègue les pères au rang de parent de seconde zone. Car le plus important est de préserver la coparentalité au-delà de la séparation. La rupture entre les parents constitue nécessairement un traumatisme pour l'enfant, mais c'est la persistance du conflit parental qui est destructrice pour lui, bien plus que le choix d'un quelconque mode de résidence. L'alternance est inhérente à tous les modes de résidence des enfants de parents séparés, qu'il s'agisse de la résidence alternée ou de l'exercice du droit de visite et d'hébergement de l'autre parent. Mais il n'y a qu'en résidence alternée que l'enfant continue à bénéficier réellement de ses DEUX parents...

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La Cour d'appel de Poitiers met fin à la discrimination visant les parents diabétiques

Ce billet reprend le témoignage d'un parent diabétique qui avait été interdit d'héberger son enfant, en raison d'une décision d'un JAF du 17 mars 2008, qui avait été rendue sans que le juge n'ordonne une expertise médicale pourtant sollicitée. Fort heureusement, la Cour d'appel de Poitiers a pris l'avis d'experts et de médecins et a mis fin à cette discrimination par un arrêt du 7 octobre 2009. 

Au sujet de cette affaire, le psychiatre Serge Hefez - dont l'analyse est reproduite en fin de billet - pose la question de savoir si la discrimination liée à la maladie était seule en cause. La lecture du témoignage et de l'arrêt - joint en fin de billet, anonymisé - rendu par la Cour d'appel de Poitiers permettra à chacun de se forger son opinion.

Voici donc le témoignage de ce parent, qui a été privé de toutes relations avec son enfant pendant toute la durée de la procédure d'appel, à savoir 18 mois. Le récit de son histoire trouve un dénouement heureux en raison de la sagesse des magistrats de la Cour d'appel de Poitiers, mais le débat reste ouvert sur les conséquences très néfastes de certaines décisions prises bien légèrement, qui privent des enfants de leurs parents pendant de très longs mois sans fondement. Qui rendra à cet enfant les presque deux années de sa vie pendant lesquelles il n'aura pratiquement plus eu de relations avec son père ?

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lundi 28 juillet 2008

Liens vers d'autres sites familiaux et partenaires


Dans ce billet, de nombreux liens vers d'autres sites familiaux ou associatifs, et aussi partenaires. Merci de signaler les liens qui ne seraient plus à jour.

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